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. C'était autrefois un habitat professionnel de pécheur fait de sanyas et parfois une habitation traditionnelle |
La Barraca "La baraque" tout simplement en Catalan.
Cabanes en roseaux "phragmite australis" trouvé sur place |
Aujourd'hui encore quelques pécheurs y stockent leurs trabacs et sont prêts à partir pour s'approvisionner en vue d'une bullinada. C'est que dans une barraca il est impensable, voir de mauvais goût d'y manger de la viande. |
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En 1957 il y avait par exemple : 30 barracas à Coudalayre et 10 à la pointe de Coudalayre.
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Aujourd'hui quelques "Barracas" sont encore visibles autour de l'étang : à la "fount del port", à la "pointe del Deves", à la pointe de "Coudoulayre", aux "Dindilles" ou mises en scènes derrière le port au Barcarès face à la mer. |
Autrefois les barracas côté mer étaient utilisées pour l'été et côté étang pour l'hiver. Les pécheurs y restaient la semaine entière rentrant le dimanche au village. |
Les barracas sont construites uniquement avec des matériaux d'origine organique. La structure de la construction, la piquetade, les poteaux porteurs, et la porte d'entrée sont en bois. Les sanyas provenant des berges de l'étang sont ramenés pour y être séchés pendant 1 mois. Les piquetades sont placés tous les pas et la partie entérrée est goudronnée
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plan d'une barraca à coquilla (double abside). |
Les pêcheurs sont regroupés au sein de la prud'homie du Barcarès qui est leur interlocutrice auprès des Affaires Maritimes et des autres organismes publics. |
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